Toutes les générations et non plus seulement les plus jeunes d’entre-elles, différentes plateformes et non plus seulement les consoles de jeux classiques de chez Microsoft ou Sony ou encore, la possibilité de se divertir sur tous les domaines possibles. Dernièrement, l’industrie du jeu vidéo a effectué des changements majeurs et a donc connu une recrudescence dans tous les domaines. Popularité, chiffre d’affaires, innovation : l’industrie vidéoludique est l’une des plus porteuses qui soient à l’heure actuelle.

Au sein du monde du divertissement, le jeu vidéo est incontestablement un pan majeur de l’évolution phare de ces loisirs. Que cela soit en ligne ou hors ligne de manière plus classique, cet univers n’a jamais cessé de s’adapter.

Au sommet de son art depuis plusieurs années et reconnu pour certains bienfaits malgré des années, voire des décennies à être discrédité, le jeu vidéo ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Après avoir révolutionné son ère et charmé bon nombre de joueurs de tout âge, le jeu vidéo devrait continuer à évoluer et ainsi, garder sa force majeure, à savoir celle d’avoir systématiquement une longueur d’avance.

Il y a clairement matière à discuter, comparer et envisager, mais à l’heure actuelle, à quoi pourrait bien ressembler le futur du jeu vidéo ? Nous exposons quelques pistes.

Un jeu dans le cloud permanent

Les plus jeunes générations ne l’ont pas connu et pourtant, il fut un temps pas si ancien où il n’était possible de retrouver ses avancées au sein d’un jeu qu’à l’aide d’une carte mémoire. Pour l’anecdote et au bon souvenir des désormais anciennes générations, au plus tard celle née dans les années 1990, les plaquettes de jeux contenaient un emplacement pour le CD-ROM et également, la carte mémoire ! En embarquant son jeu favori pour jouer chez un ami, on pouvait ainsi s’assurer d’emporter le précieux sésame, mais également, sa carte mémoire afin de ne pas perdre son avancée.

Relique du passé

Aujourd’hui, les comptes en ligne liés à certaines plateformes comme celles du PlayStation Network ou du Live XBox ont la particularité de tout sauvegarder de manière instantanée. Cependant, tout n’est pas encore parfait et en cas de changement de console, de nouveau compte ou de connexion effectuée à un autre endroit qu’à l’accoutumée, il est parfois observable de perdre son avancée ou tout simplement, ses réglages personnels.

Déjà fortement implantés dans l’univers numérique de manière générale, la sauvegarde et l’accès en réseau n’en sont qu’à leur balbutiement dans une catégorie aussi vaste que le jeu vidéo. Dans le futur et pour ces mêmes raisons, il apparaît plausible d’imaginer un jeu accessible de n’importe où et pourquoi pas, sans console. En développant des systèmes polyvalents à l’instar de ce que Google cherche à faire avec Stadia, la dématérialisation risque de faciliter l’accès au jeu.

Le metaverse

C’est un domaine qui risque bien de révolutionner le monde entier du divertissement et non pas seulement l’industrie vidéoludique. Considéré comme le Web3, le metaverse est un univers virtuel où l’aspect dématérialisé – sans pour autant manquer d’authenticité – fait foi.

À l’heure actuelle, de nombreuses maisons d’édition de jeux vidéo travaillent sur le sujet pour des raisons évidentes, mais c’est également le cas d’une plateforme de poker comme PokerStars, connue à l’échelle planétaire. Cette dernière s’active parmi tant d’autres, pour faire en sorte que le metaverse s’intègre dans le divertissement en ligne.

Pionnières dans bien des domaines et également responsables de la montée en puissance du poker, ce genre de plateformes regorgent d’idées pour innover et définitivement, changer le principe du loisir en ligne.

tous les éditeurs s’adaptent

L’indépendance

Dans les années 2010, l’ouverture de nombreuses bibliothèques et de bases de données a permis à des éditeurs et développeurs indépendants de tenter l’expérience en sortant leurs propres jeux vidéo. Dans le futur, tout laisse penser que des bibliothèques telles que l’AppStore ou encore Steam, se montreront propices à accueillir de telles créations. Partie remise pour les indépendants ?