Le scanner est un outil qui est en passe de se hisser au hit parade des périphériques les plus utilisés dans l’informatique domestique. En effet, que ce soit pour vos besoins professionnels à domicile, ou encore pour l’usage des vos adolescents branchés, la numérisation des documents et des photos est devenue pratique très courante. Voici quelques points clés pour que l’achat d’un scanner bien adapté à vos besoins.

La résolution et la profondeur d’échantillonnage

Nous vous invitons à passer rapidement dans le monde de la technique pour comprendre le fonctionnement du scanner. Tout simplement, le capteur du scanner relève des points. Le nombre de points relevé par pouce carré ( ppp ou dpi ) est l’unité de mesure de la résolution. Ainsi, nous vous conseillons de prendre un scanner dont la résolution est de 600×600 dpi pour scanner correctement en format A4 un document classique ou une photo 10×15. Pour un usage plus professionnel comme une manipulation de négatifs par exemple, préférez une résolution plus élevée ( 1200 voire 2400 dpi).

La profondeur d’échantillonnage concerne l’analyse de la couleur. Pour un usage courant, une profondeur de 24 bits (16 millions de couleur) est largement suffisant.

La vitesse

Ce critère a son importance si vous avez plusieurs documents à numériser, à un rythme fréquent. Sachez qu’un scanner en entrée de gamme travaille à la vitesse moyenne de 40 secondes à 1 minute 30 par document.

En savoir plus

Si vous manipulez des documents simples A4, un scanner à plat sera le plus adapté à votre utilisation. Pour les transparents, pensez à l’option « à dos pour transparent ». Pour une finalité professionnelle (numérisation de plans, de grandes images), optez pour le format A3. En ce qui concerne la connexion, le mode USB est le plus conseillé : le branchement se fait à chaud et il est compatible Mac et PC.

Un scanner en entrée de gamme s’acquiert à 50 euros. Pour un scanner de moyenne gamme et à destination semi professionnelle, comptez entre 200 et 300 euros.